Sur scène, des robes de tous les jours, des robes de bal, de soirée, de mariée, de chambre. À paillettes, longues, bouffantes, ajustées, trop grandes.
Des robes qui volent, qui brillent, qui craquent, qui tournent, qui traînent ou tombent. Des robes empires, à baleines, de celles qui valsent sur Léonard Cohen ou bien des robes en pleurs, mal cousues, légères, sans armatures, nouées sur le ventre. Et puis des robes seules, rebelles, enjouées sur fond de basses électroniques. Elles sont cinq à porter ces robes. Cinq danseuses qui transpirent parce que vivantes. Cinq interprètes qui nous envoûtent parce que fragiles et fougueuses.
PRESSE
Son succès est relayé par des tournées phénoménales : elle est la jeune chorégraphe la plus présente à l’affiche actuellement avec une centaine de dates annuelles. Le Monde
Lelia Ka incarne une jeunesse qui s’affirme, se révolte et invente un style en dehors des codes. Télérama